La Course au Bonheur
(Histoire d'une vie, gay)
Synopsis(Histoire d'une vie, gay)
La Course au Bonheur Histoires d’une vie, gay se situe dans la réalité de la fin du XXème siècle.
Tentative d’écrire cette expérience de la vie : suite d’images documentarisées -à travers une subjectivité et une intimité revendiquée - dès les premières pages.
Album-Souvenirs - impressions tour à tour graves, heureuses, douces-amères ou acides- dont on tourne les pages définitivement pour liquider le passé - émaillé d’incursions heureuses, vers le vierge, le vivace et le si bel aujourd’hui et qui colle le plus possible à la réalité de la vie gay contemporaine enchâssée qu’elle est dans cette promenade amoureuse d’en France - et qui a toujours gardé en ligne de mire et comme horizon définitif la réalité urbaine et Paris.
Ce n’est pas un récit sur le sida même si l’évocation de la mort rouge en est, même ténu, le fil rouge. En même temps : nier ce fait : à un moment donné, nos vies vécues n’ont-elles pas été en masse des paysages de cimetière ?
C’est là, sans doute que La Course au Bonheur, retrouve l’universel : d’une particularité, cette expérience de la vie gay, décrite presque phénoménologiquement, affrontée à la question non-paritaire et non-communautariste qu’est la confrontation avec la maladie, la mort, le deuil, et parle pour toute une et tout un.
Si on rapporte les chiffres estimés par l’OMS et Onu sida - ils font frémir et froid dans le dos - du nombre de morts soit quelques 25000000 d’individu-e-s, au chiffre de la population de la France, nous vivrions dans un désert, dans un monde tout aussi dévasté que celui connu atrocement du fait des guerres mondiales, pour ne dire rien de notre horizon contemporain avec cette pieuvre qu’est Daesh !!!
Tentative d’écrire cette expérience de la vie : suite d’images documentarisées -à travers une subjectivité et une intimité revendiquée - dès les premières pages.
Album-Souvenirs - impressions tour à tour graves, heureuses, douces-amères ou acides- dont on tourne les pages définitivement pour liquider le passé - émaillé d’incursions heureuses, vers le vierge, le vivace et le si bel aujourd’hui et qui colle le plus possible à la réalité de la vie gay contemporaine enchâssée qu’elle est dans cette promenade amoureuse d’en France - et qui a toujours gardé en ligne de mire et comme horizon définitif la réalité urbaine et Paris.
Ce n’est pas un récit sur le sida même si l’évocation de la mort rouge en est, même ténu, le fil rouge. En même temps : nier ce fait : à un moment donné, nos vies vécues n’ont-elles pas été en masse des paysages de cimetière ?
C’est là, sans doute que La Course au Bonheur, retrouve l’universel : d’une particularité, cette expérience de la vie gay, décrite presque phénoménologiquement, affrontée à la question non-paritaire et non-communautariste qu’est la confrontation avec la maladie, la mort, le deuil, et parle pour toute une et tout un.
Si on rapporte les chiffres estimés par l’OMS et Onu sida - ils font frémir et froid dans le dos - du nombre de morts soit quelques 25000000 d’individu-e-s, au chiffre de la population de la France, nous vivrions dans un désert, dans un monde tout aussi dévasté que celui connu atrocement du fait des guerres mondiales, pour ne dire rien de notre horizon contemporain avec cette pieuvre qu’est Daesh !!!


Vingt-cinq millions de morts estimés, mais vilipendés aussi et sans doute autant de personnes qui les ont accompagnés, dont les décès ont, surtout au début de la pandémie, été invisibilisés, dissimulés, sous toutes sortes de noms comme les célèbres maladie tropicales etc, car morts honteuses indignes d’un hommage.
Ne pas voir là une thématique, universelle !
La Course au Bonheur, mon continent évoque évidemment la sociabilité gay, à l’époque dans les années 1970 - le point de départ.
Mais avant l’existence des quartiers gay : réalité mondiale, gay, c’était dehors, le trottoir, les rues : Some streets in lives and towns : a great movie, bollywood style, colored and queer.
Autant d’arrêts sur images et sur mots, certes, mais jamais statufiés, fossilisés dans le passé, car le récit est un chant d’amour à la vie présente, vivante et s’achève sur un hommage vibrant à l’amour présent. Vive la vie !
Ne pas voir là une thématique, universelle !
La Course au Bonheur, mon continent évoque évidemment la sociabilité gay, à l’époque dans les années 1970 - le point de départ.
Mais avant l’existence des quartiers gay : réalité mondiale, gay, c’était dehors, le trottoir, les rues : Some streets in lives and towns : a great movie, bollywood style, colored and queer.
Autant d’arrêts sur images et sur mots, certes, mais jamais statufiés, fossilisés dans le passé, car le récit est un chant d’amour à la vie présente, vivante et s’achève sur un hommage vibrant à l’amour présent. Vive la vie !